Ces vœux ont quelque chose d’intemporel et il me plait de ne pas les cantonner à la période de vœux traditionnelle tant ils peuvent, aujourd’hui, se révéler d’actualité au quotidien
Pour que :
Renouant avec notre humanité, nos vies continuent à avoir du sens, quelle que soit l’agitation du monde.
Renouant avec l’instant présent « en pleine conscience » , notre mental se taise et nos peurs s’évanouissent.
Je vous propose, grâce à ces vœux, 15 minutes tout à la fois d’évasion et de recentrage.
8 minutes hors du temps
C’était en 2020, en guise de vœux, je vous proposais 8 minutes hors du temps, 8 minutes de contemplation, d’émerveillement,
8 minutes de temps retrouvé, où seul le moment présent compte.
Et je vous souhaitais de vivre beaucoup de ces minutes tout au long de l’année 2020
3 minutes de totale bienveillance
Mes vœux se prêtaient aussi à être regardés à tout moment en 2017. Pour s’offrir un temps de déconnexion avec l’agitation de ce monde. Pour aussi nous donner l’envie de faire naître dans notre vie de tous les jours de ces « grands moments ».
En cette période chaotique, ils sont particulièrement d’actualité.
3 minutes de « pleine présence »
Ces vœux étaient ceux de 2021 : regardez cette merveilleuse artiste se livrer, dans une grande proximité avec la nature, à son art : faire tenir en équilibre des pierres en paraissant se jouer des lois de la gravité.
Elle nous « embarque » dans l’aventure, en partageant son ressenti. Et nous voilà, goûtant, par procuration et pendant 3 minutes, toute la quiétude qui émane de la simple pleine présence au « moment présent ».
Dans la période chaotique que nous traversons, génératrice de stress, c’est mon cadeau de fin d’année. Il reste à votre disposition et vous pourrez le solliciter à chaque fois que l’émotion vous submergera. Cette vidéo vous permettra de vous rappeler combien faire taire son mental est un merveilleux et naturel remède.
N’hésitez pas à vous emparer de ces vidéos, à les faire vôtres, les partager et y avoir recours lorsque les vents vous semblent défavorables..
Nous vivons des moments difficiles. Moral en berne, sentiment de peur face à un avenir incertain et imprévisible, peuvent devenir notre quotidien. Pour éloigner de nous ces « mauvais esprits », surmonter la peur, il est fréquent de faire appel aux techniques de développement personnel.
Faire appel au développement personnel pour vaincre ses peurs
Vous avez sûrement entendu dire – et peut-être même vous a-t-on dit – qu’en cas de gros vent, il est bon :
De s’efforcer de vivre le moment présent sans ressasser le passé ou se projeter dans un futur plein d’épouvantails qui, pour la plupart, n’existeront pas.
De garder à l’esprit que la réalité importe peu ; seul le regard que l’on porte sur elle importe. Autrement dit, acceptez la réalité sans rébellion, sans craindre les lendemains ; efforcez-vous d’y voir des opportunités. Elles vous permettront de vous adapter à la situation.
Certes, à force de ténacité, on peut développer ces réflexes et limiter l’emprise du stress. Mais quand la peur ou la douleur nous envahissent ? Il me semble que l’on a toute chance d’oublier ces « bons conseils » (sauf à en avoir déjà fait des réflexes, mais c’est une autre histoire) !
Les bonnes paroles, les conseils aussi avisés soient-ils, ont peu de prise sur l’émotion lorsqu’elle nous envahit. D’ailleurs,tout le monde sait bien que cela ne sert à rien d’avoir peur, que cela nous prive de nos moyens, et l’on continue tout de même à avoir peur !
La vidéo de Jane Marczewski (alias Nightbirde) lors du concours de l’émission télévisée de l’America’s Got Talent m’a soufflé une autre voie : se nourrir de la leçon de vie exemplaire que nous donne Jane, elle qui a su vaincre ses peurs, les terrasser.
Se nourrir de la force de Jane pour vaincre ses peurs
Convaincre par l’exemple est un classique. Xénophon, disciple de Socrate (né vers 430 av. J.C) nous l’enseignait déjà : « Les actes ne sont-ils pas des témoignages plus dignes de foi que les paroles ».
Mais avec Jane, cela va beaucoup plus loin : c’est à notre émotion qu’elle parle. Or c’est l’émotion – et non les discours et conseils – qui met en mouvement.
Regardez cette vidéo et jugez par vous-même de l’effet produit sur vous.
Peut-être, comme moi, sortirez-vous envahi(e) par l’émotion et bouleversé(e) par tout ce que Jane dégage : une force tranquille envers et contre tout.
Peut-être que ce que Jane nous confie, après avoir chanté, le prouvant par l’exemple, fera alors son chemin :
« Vous ne pouvez pas attendre que la vie ne soit plus dure pour décider d’être heureux« .
Pour ma part, cette vidéo, depuis sa découverte, continue de m’habiter…
Grâce à Frédéric Jacobé, j’ai découvert une fabuleuse « recette » pour s’affranchir de la morosité et même du climat anxiogène ambiant. Une pépite que j’ai eu envie de partager.
Le « mode opératoire »
Vous vous offrez une promenade dans la nature, dans la forÊt de préférence. Et vous prenez le temps de regarder les arbres, un par un, avec pour intention de voir si l’un d’eux vous parle, vous offre à voir un personnage, un animal, une scène, comme l’a fait Frédéric Jacob.
Que se passe-t-il ?
Vous vous trouvez naturellement à « vivre le moment présent ».
Passé et futur n’occupent plus votre esprit.
Calme et sérénité sont au rendez-vous.
Vous ne me croyez pas ?
Tentez l’aventure
Et n’hésitez pas à partager vos trophées sur ce blog. Ce seront autant de trouvailles dont tous bénéficieront.
En 2015, Sri Sri Ravi Shankar réalisait une tournée en Europe pour partager sa vision : « une grande famille mondiale », et au travers de conférences, formations, rendez-vous à haut niveau, apaiser, réunir et inspirer les décideurs. Et, au passage, ouvrir les esprits à la possibilité que nous aurions tous de rendre visible l’invisible.
Une journée pour satisfaire ma curiosité
Accompagné d’une quinzaine de jeunes, Ravi Shankar passait par Paris et consacrait une journée à partager son expérience et ses outils pour » soutenir la Paix et le Bonheur dans chaque individu » avec le commun des mortels. Dans la salle 700 ou 800 personnes.
C”est lÀ que la confiance que je faisais à ma raison s’est trouvée quelque peu ébranlée. Et pourtant, en la matière, pour une fois, elle rencontrait même la sagesse des foules.
Au départ, pour moi, le « prÊche » d’un gourou
Ravi Shankar officiait dans un décor somptueux, assis dans SON « fauteuil trône ».
Alors que Ravi Shankar prône les pouvoirs insoupçonnés de l’intuition et œuvre pour les révéler à chaque Être humain, ma propre intuition ne me disait rien de bon à son égard. Probablement un gourou, « PDG d’une multinationale de l’âme » comme le qualifient ses détracteurs(1), brillant homme de marketing. Je ne me souviens d’ailleurs absolument pas de ce qu’il a pu nous dire !
Puis un scepticisme face à l’improbable
En revanche les intuitions et perceptions au-delÀ de la réalité tangible dont ont fait preuve ces jeunes indiens m’ont un moment ébranlée.
Effectivement les yeux bandés un jeune parvenait à lire un texte qui lui était présenté, un autre à décrire un dessin qui venait d’être dessiné alors que ses yeux étaient déjà bandés (bandeau dont l’opacité avait été vérifiée). à une personne de l’assemblée, volontaire pour ce test, une jeune décrivait avec précision et justesse sa maison.
Mon esprit rationnel imagine alors que des complices peuvent Être acteurs de ces scènes.
Et, in fine, me voilÀ décontenancée
Le trouble surgit lorsque, pendant une pause d’une demi-heure, ces jeunes proposaient à des volontaires (ils étaient légion) de les « scanner », et, dans la mesure du possible, leur venir en aide. La chance m’ayant souri, j’ai pu bénéficier de l’expérience. Assise en face d’une jeune indienne d’une quinzaine d’années, je l’ai vue fermer les yeux et manifestement se concentrer fortement. Une ou deux minutes plus tard, elle m’annonçait que j’avais seulement des problèmes avec mes genoux et qu’elle ne pouvait pas y remédier. C”était effectivement une réalité et j’ai même dû, trois ans plus tard me résoudre à la prothèse totale d’un genou, le second montrant d’ailleurs deux ans plus tard des signes d’impatience !
Un monde de l’invisible à notre portée ?
Ces jeunes indiens et indiennes sont formés dès 6 ans de manière à développer les capacités intuitives dont nous serions tous pourvus à la naissance mais que nous laissons à l’abandon. Ils parviennent ainsi à voir sans avoir recours à leurs yeux et à « voir » ce que nous ne voyons pas. Je vous en donne un aperçu dans cette vidéo.
Vous souhaitez en savoir plus ?
Un reportage vidéo de 13 minutes, réalisé par Frank Elaridi dans une de ces écoles alternatives au Royaume Uni, dans le comté d’Essex, est accessible sur Facebook ou sur YouTube.
Les limites de nos perceptions, une croyance limitante ?
VoilÀ qui interpelle. La physique quantique éclaire un peu le phénomène : Emmanuel Ransford, par exemple, nous fournit des pistes, mais plonger dans ses explications est incompatible avec le temps des vacances. Comme disent mes petites-filles franco-thaïlandaises, « ça fait mal à la tÊte ».
Je reste néanmoins encore très interrogative : ne chercherions-nous pas les clés sous le réverbère et non lÀ où nous les avons perdues au motif que, sous le réverbère, il y a de la lumière ?
Avons-nous raison de suivre les sentiers familiers et balisés ? Saint Exupéry nous disait déjà que l’on ne voyait bien qu’avec le cœur. D”autres voies, complémentaires, ne seraient-elles pas les plus fructueuses ?
Et vous, qu’en dites-vous ? N’hésitez pas en faire part en commentant cet article.
(1) Pour information : Sa fondation caritative et éducative « International Art of living Foundation», créée en 1981, est présente dans 152 pays. Il s'agit, au travers des formations de trouver un bien-être quotidien en gérant le stress et la dépression. Dans un article du journal Le Point du 26/07/2012, Vanessa Dougnac, indique de grandes firmes ont envoyé leurs ingénieurs et hommes d'affaires suivre des cours accélérés. MÊme l'agence spatiale américaine de la Nasa a tenté l'expérience.
Elle précise également que l'intégrité de Sri Sri Ravi Shankar, « À la différence d'autres célèbres maîtres spirituels indiens, n'a pas été contestée : ni scandale financier, ni Rolls- Royce, ni femme abusée » et qu'il a aussi été nominé au prix Nobel de la paix.
Nous avons les yeux ”“ et les oreilles ”“ rivés sur l’actualité de la gestion de la crise actuelle, au jour le jour. Pour me préserver des effets nocifs de cet « engouement » et ne pas saborder les « bonnes énergies vitales » qui acceptent d’élire domicile chez moi, j’ai regardé cette crise en prenant un peu de recul.
A l’écoute des « états des lieux » dûment chiffrés dont nous abreuvent les media, j’ai préféré regarder les faits sans chausser les lunettes de la peur. J’en ai tiré deux leçons de vie que j’ai envie de partager. Pour ce que bon vous semblera !.
Leçon n°1 : Tout est affaire de regard, peu importe la réalité.
Je peux décider de m’appesantir sur les aspects négatifs d’une situation comme je peux décider d’en tirer des enseignements positifs. Autrement dit, je peux décider de cultiver l’art de transformer les pépins en pépites.
Une tournure d’esprit inculquée aux jeunes chinois dès leur plus jeune âge puisque le mot « crise » est composé de la réunion de deux idéogrammes, l’un signifiant danger et l’autre opportunité.
Le télétravail est-il un risque ou une opportunité ou… les deux ? Qu’y a-t-on perdu et qu’y a-t-on gagné ?
2. Leçon n°2 : Le passage à l’action est une vraie potion magique
L’impossible étant devenu brutalement possible, la nécessité ayant force de loi, on a découvert, chemin faisant, les bienfaits insoupçonnés de l’action. C”est dans l’action que se sont diluées toutes les peurs qui accompagnaient l’idée d’un management supplantant au « command and control » le « sécuriser, associer et développer »[1].
Les limites du micro-management : appliquées au distanciel, les méthodes habituelles généraient stress et perte de confiance,
Les avantages d’un management faisant place à l’humain, à l’autonomie et la responsabilisation,
Les pouvoirs de la confiance mutuelle, tant sur le bien-être que sur les performances.
C”est dans l’action que se sont dissoutes les peurs.
N'avez-vous vécu cette expérience dans de multiples situations ? Une fois vécue la situation appréhendée, n'avez-vous pas fait le constat que « finalement, ce n'était pas si terrible que ça » ?
Le Dr Catherine Henry-Plessier a bien raison : notre mental est un fichu « mental menteur ».
Puisque nous ne pouvons pas « faire comme si » le coronavirus n’était qu’un mauvais rÊve, autant en retenir le positif qu’il nous permet de découvrir et, autant que faire se peut… s’y adapter.
Ce n’est pas la fin du monde, pour reprendre le constat qu’en fait André Comte-Sponville.
Pourquoi ne s’alarme-t-on que de la COVID19 ?
Parle-t-on tous les jours dans les media et sur les réseaux sociaux des morts du cancer ou de maladies cardiovasculaires ?
Et pourtant ils font plus de morts, depuis beaucoup plus longtemps et, peut-être même pour encore très longtemps, malgré les traitements.
Alors que l’on peut espérer que la vaccination et les traitements à venir viennent à bout de la COVID19 à un horizon de l’ordre d’un ou deux ans.
Pourquoi la COVID19 occupe-t-elle tout l’espace ?
Ce n’est pas la première pandémie ; à ce jour, elle n’est pas « pire » que celles des années 1957-58 ou des années 1968-70.
Vous en souvenez-vous ? (Il est vrai qu’en 1968, nous avions d’autres centres d’intérêt)
La prendre au sérieux est fondé,
car on peut se souvenir de l’ampleur prise par la grippe espagnole en l’absence de mesures prises pour la contenir – outre le fait que, en raison de la guerre, les populations étaient déjà affaiblies et les réponses médicales inadaptées.
Mais de lÀ, à la laisser occuper tout l’espace
Il y a, pour le devenir de l’humanité, beaucoup plus grave que la maladie
Si l’on veut bien prendre un peu de recul sur le quotidien de ce début de siècle, les menaces autrement plus sérieuses sont légion. Le réchauffement climatique et son cortège d’effets induits (élévation du niveau des océans, catastrophes climatiques, pénurie d’eau douce dans certaines régions du monde, migrations massives, etc) et les risques économico-financiers , par exemple, justifieraient la prise de mesures autrement drastiques. Nous en sommes loin
Ne serait-on pas plutôt face à une pandémie de la peur ?
La peur est mauvaise conseillère et pourtant c’est elle qui semble nous gouverner, au-delÀ du raisonnable, au moins sur deux points :
Collectivement, nous sacrifions l’avenir au présent :
Nous protégeons les plus vulnérables face au coronavirus (moyenne d’âge des personnes décédées de la COVID : 81 ans), les « aînés » (dont je suis !). C”est tout à l’honneur de notre société que de vouloir protéger les plus faibles. Mais, pour les protéger, nous sacrifions sans état d’âme les enfants et les plus jeunes (éducation, chômage, poids de la dette).
Nous voulons préserver la santé physique immédiate de tous sans nous inquiéter du lourd tribut humain qui y sera payé demain : personnes atteintes de maladies chroniques repoussant de gré ou de force la poursuite de leur traitement, risques psychosociaux majeurs pour beaucoup en raison de l’impact psychologique du confinement et des effets pervers de la peur via le stress permanent induit.
Individuellement, nous sacrifions notre libre arbitre :
Le Dr Guillaume Lemonde nous propose un parallèle entre notre situation actuelle et celle imaginée par Jules Romain dans « Knock ou le Triomphe de la médecine ». Knock, en trois mois, réussit à confiner tous les habitants de Saint Maurice en les rendant hypochondriaques car « les gens bien portants sont des malades qui s’ignorent ». Vous Êtes asymptomatique, mais vite un test PCR ! Vite mon vaccin ! Vite, calmez ma peur entretenue par tout l’environnement ”“ politique, médiatique … Plus fort que le Docteur Knock ! et tant pis pour les libertés essentielles.
Nous acceptons sans coup férir que notre conduite face au risque de la COVID19 nous soit intégralement dictée par les Pouvoirs Publics. Qu’aucune place ne soit laissée à la capacité de chacun de faire des choix, de penser par lui-même et de se déterminer dans le respect de l’intégrité des autres. Certes en éclairant ces choix : les gestes barrière, se laver les mains, porter un masque (en précisant les conditions d’utilisation dans lesquelles ils sont efficaces) mais aussi, et peut-être surtout, soigner ses défenses immunitaires (grandes absentes du discours).
Et alors ?
Alors, c’est vrai, le risque que j’ai de mourir du COVID est de 0,01% et, si je pouvais choisir, je préfèrerais que ce ne soit pas du COVID. Cela veut aussi dire que j’ai 99,98% de chances de ne pas mourir du COVID (ce qui ne dispense pas de se conformer aux mesures de prévention).
Dans le même temps, chaque fois que je prends ma voiture, je cours aussi le risque de mourir dans un accident, même s’il est un peu moindre et je n’y pense quasiment jamais et je continue à me servir de ma voiture (en évitant les imprudences…).
Preuve que la peur peut Être dépassée : si nous avons confiance en la vie, acceptons de vivre le moment présent (sans se laisser polluer par un passé qui n’est plus et un futur dont nous ne savons rien).
Si tel était le cas, ce ne serait pas si compliqué. La Vie aurait gardé ses droits !
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.OK